Tchaga (Aïcha Koné), Soukeïna (Alpha Blondy), Carolina (Monique Séka), Aya (Nayanka Bell).. ..
Carolyna la fille à Monique seka
Que je le veuille ou pas, on dira toujours que je suis la fille de ma mère, Monique Seka.
Maman m’a légué un très grand héritage dont jev suis fière.
Toute petite, devant la télévision, je m’amusais à reproduire les prestations de ma mère.
Je suis en train de lancer ma carrière par une reprise de « Okaman » l’une de ses chansons-phares
C’est comme un point de départ. Pour annoncer ce qui va suivre.
J’aimerais que ma mère soit fière de moi.
Elle m’a toujours conseillÃ
© d’être naturelle de garder mon authenticité.

Soukéina, la fille d’Alpha Blondy
Je dirai que je suis née dans une famille de troubadours. A l’instar de mon père Alpha Blondy ma mère est aussi chanteuse.
Donc, naturellement, je n’ai pas un destin différent.
S’il y a une seule personne qui croit véritablement en moi, je dirai que c’est mon père.
Maman a quelques réserves (elle rit).
C’est vrai que le succès musical n’est pas génétique ni héréditaire. Je vis ma passion pour la musique. Si le succès me sourit, j’en serai heureuse et fière. Si ce n’est pas le cas, j’aurais quand même essayé.
Tout compte fait
C’est une grande responsabilité de suivre les traces de ses parents.
En même temps c’est la suite logique. C’est juste une évidence.
De mon père, j’ai beaucoup appris. Étant à proximité, on apprend sans le savoir.
Oui, on apprend par mimétisme.

Tchaga, le fils à la Diva Aïcha Koné
Exercer dans le même corps de métier que son parent (père ou mère) est une grosse et lourde responsabilité et source de pression car on est parfois comparés avec ce dernier.
L’on est précédé du désignatif : c’est le fils de… Mais en même temps, il y a pas mal d’opportunités.
Dans mon cas, le fait d’être l’enfant de la Diva Aïcha Koné m’a ouvert de grandes portes. Cela m’a permis de rencontrer d’illustres personnalités africaines, de grands noms de la musique.
Être l’enfant de Aïcha Koné m’a beaucoup aidé quand j’ai signé il y a quelques années avec Universal Europ Concession Afro Jazz.
Mais bon, je ne sais pas si c’est de la malchance mais je fais aussi le constat que c’est vraiment difficile de nous imposer musicalement. Malgré tous les efforts consentis, mes sorties musicales, je repars toujours à la case départ . Mais bon je continue de travailler..

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Ayala Leibel, la fille à Nayanka Bell
C’est à l’âge de 14 ans que mon amour pour la musique a commencé à se manifester.
C’est vrai que je n’ai pas fait d’orchestre, de formations musicales afin de me perfectionner. Mais j’ai eu cette chance de grandir auprès de ma mère. Je la voyais donc régulièrement faire de la musique. Ainsi, à ses cotés, je peux dire que j’ai vu comment les choses se passent et se font. J’écoutais et je continue d’écouter des musiques des chanteuses françaises et des grandes chanteuses ivoiriennes de la trempe de ma mère, de la musique mandingue notamment Oumou Sangaré et aussi le reggae que j’aime beaucoup. Je travaille nuit et jour pour me parfaire au niveau vocal, des compositions et même pour des prestations.

Serge pacome Didi