
L’OL vient de recevoir une énième mauvaise nouvelle ce mercredi, jour de son nouveau passage devant la DNCG pour faire appel de sa rétrogradation en Ligue 2.
C’est peut-être le jour le plus important, ou du moins le plus critique, de l’histoire de l’Olympique Lyonnais. Rétrogradé en Ligue 2 par la DNCG la semaine dernière, le club rhodanien doit convaincre le gendarme financier du football français de changer d’avis au long de la journée. Pour y parvenir, il faut notamment apporter des garanties de 200 millions d’euros. Un sacré challenge pour Michele Kang, qui verra le club dont elle vient de prendre la tête rester en Ligue 2 si les arguments de l’OL sont jugés non convaincants.
;>Et en attendant le résultat de cet appel, les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour l’Olympique Lyonnais. Le Progrès nous apprend effectivement que le contrat signé avec la société Groupama pour le naming du stade rhodanien n’a pas été renouvelé. Dès la fin du mois, le Groupama Stadium redeviendra donc le Parc OL.
Une nouvelle entrée d’argent s’estompe
Et ce alors qu’à la base, la société d’assurances était partante pour prolonger ce deal, mais John Textor n’aurait pas validé l’opération à temps. Au vu des récents problèmes du club, la situation est actuellement en stand-by. Sponsor du Parc OL depuis 2017, Groupama ne devrait donc plus donner son nom à l’enceinte lyonnaise sauf retournement de situation.
C’est donc une perte financière conséquente pour le club, qui doit encore payer son stade jusqu’en 2044, vingt ans après la date finale de remboursement initialement fixée (l’échéance avait été retardée suite au Covid et à la crise des droits TV). Pour rappel, le contrat de Groupama avec l’OL est estimé à 6,9 millions d’euros par an, une somme sur laquelle le club ne peut pas se permettre de s’asseoir, encore moins dans la situation actuelle. Affaire à suivre, alors que la réunion avec la DNCG vient de se conclure…
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