Je suis une jeune femme de 30 ans, et j’aimerais vous relater mon histoire que je n’ai jamais eu le courage de le dire qui que ce soit quelques années plutôt.

Dix ans en arrière, je suis tombée amoureuse de Brice, un jeune de mon quartier. Il avait 20 ans et moi 19 ans.
Il savait que j’étais très éprise de lui. Et donc, il couchait avec moi que lorsqu’il le voulait, on ne faisait jamais rien ensemble si ce n’est que ça...

Un soir chez lui à la maison, alors que ses parents étaient en voyage, on s’est fait un apéro avec deux de ses amis. Sous l’effet de l’alcool, lui et moi sommes montés dans sa chambre et on a commencé à faire l’amour. Je gémissais tellement fort que ses copains sont venus nous épiés...et il me proposa que ses copains nous rejoignent.

x;>Par amour pour lui, j’étais prête et capable de tout, je n’ai vraiment pas trouvé d’inconvénient. L’instant qui a suivi, notre duo s’est transformé en partouze.

Ils m’ont pris dans tous les sens (devant comme derrière dans ma bouche).

Quand ils ont fini, mon corps était inondé de leurs semences (dans les cheveux, dans ma bouche, sur les seins, mes fesses) et ils rigolaient.

Mais le comble, c’est qu’après cette aventure, plus personne ne s’est intéressé à moi. Même pas Brice. Je ne me suis jamais senti aussi honteuse et sale.

Les jours qui ont suivi, tout le monde au quartier était au courant de ce qui s’est passé entre nous. Pire, mes parents l’ont appris. J’étais obligé de mentir à mes parents que j’ai été violé. Il s’en est suivi une plainte déposée à la police par mes parents. Et une fois la plainte déposée, il fallait obligatoirement que je passe chez le gynécologue pour trouver des preuves du viol.

Et les analyses ont attesté que j’avais des pénétrations vaginales et anales.

Brice et ses deux copains se sont retrouvés en garde à vue. Avec l’intervention des parents du quartier et de très longues négociations auprès de mon père, ils ont été libérés.

Mes parents m’ont envoyé en Europe pour terminer mes études et ont finalement déménagé du quartier car, être les parents de la fille qui s’est fait violée n’était pas acceptable pour eux, surtout mon père qui est un homme si fier.
Mais, chers lecteurs,  la réalité est que je n’ai pas été violée. J’ai accepté par amour cette partouze et j’y ai pris plaisir.

J’espère que vous me comprendriez car relater mon histoire aujourd’hui me fait beaucoup de bien.
Merci.